Juin 092012
 

Monsieur Bernard Soulié propose une journée consacrée à la Bête en partenariat avec le festival celtique en Gévaudan.
Beaucoup d’activités sont prévues du côté de la Besseyre St Mary et d’Auvers.
Si vous passez dans le coin, n’hésitez pas à venir !!!!

Vous ne serez pas déçu 😉

 Posted by at 21h25
Avr 132012
 

Arrivée ce jour du nouveau numéro (412) de Lou Païs du deuxième trimestre 2012.
Au sommaire :

  • Vie économique sociale et culturelle
  • Lengo Nostro
  • Cahier central
  • Le coin du poète
  • De vous à nous
  • Lou Païs junior

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 Posted by at 12h45
Mar 292012
 

Le moins que l’on puisse dire c’est que cette bête un rien mythique, voyage beaucoup et on l’a aperçu en divers lieux, dans le secteur de Margeride.

Mi-bête du Gévaudan, telle que l’ont imaginée diverses gravures d’alors, mi-dragon représentant un dieu grec, ou bien une créature dans la mouvance du cinéma fantastique d’aujourd’hui, qu’importe la bête est là, sur l’avenue de Mende juste avant le pont qui enjambe la Limagnole à l’entrée de Saint-Alban.

Assis sur son séant, la bête est néanmoins prête à bondir et, en y regardant de plus près, on remarquera son corps d’écaille, sa gueule mi-ouverte avec ses dents acérées, ses griffes redoutables, sa queue ramassée mais là, s’arrête la comparaison d’avec la bête car en s’approchant le doute s’installe, on note alors des écailles acérées sur le dos et des grandes ailes déployées et dès lors, il n’y a qu’un pas pour rejoindre la créature fantastique d’Avatar.

Qu’importe, cette sculpture sur son socle est de belle fabrication et malgré ses 300 kg elle devrait s’envoler dans les prochains jours vers un autre lieu.

Pour l’heure, chacun s’interroge cherchant à connaître à qui appartient-elle ? Quel est le sculpteur à la tronçonneuse de génie qui l’a réalisée ? Car la pièce est vraiment de bien belle facture et pour chacun des visiteurs là sont les vraies questions ?

Source : Midi Libre

 

 

 Posted by at 7h51
Mar 152012
 

Monsieur Bernard Soulier, vous propose de devenir membre soutien de son association « Au pays de la bête du Gévaudan ».
Pour une cotisation modique (10 euros par an), tout un chacun peut faire partie de cette association unanimement reconnue pour son sérieux et soutenir ses objectifs de « préciser, de mieux faire connaître et de défendre la vérité historique dans l’affaire de la bête du Gévaudan ».
Cette participation permet, sur présentation de la carte de membre de soutien, de bénéficier :

– D’une entrée adulte gratuite par an à l’exposition estivale d’Auvers.

– D’une participation adulte gratuite par an à une des randonnées estivales sur les traces de la bête du Gévaudan (dates sur le site de l’association).

– De bénéficier d’un petit « cadeau de bienvenue » lors de la première adhésion, cadeau à retirer à l’exposition d’Auvers.

– De retirer aussi chaque année à l’exposition estivale d’Auvers un exemplaire papier imprimé de la gazette de la bête.

Pour adhérer, deux solutions :

– Vous rendre sur le site : http://betedugevaudan.perso.sfr.fr/nouvellepage2.htm

– ou télécharger le document au format .PDF ci dessous, le remplir, ajouter un chèque de 10€ et d’envoyer le tout ici :
Marie BOUSSIT
Le bourg
43 170 LA BESSEYRE ST MARY

 

 Posted by at 4h36
Fév 262012
 

Nouveau sur le site de la Bête !

J’avais en tête cela depuis des mois, mais le temps me manquait.
J’ai ajouté une rubrique « Tourisme » accessible depuis le menu à gauche sur le site.
Vous y trouverez petit à petit de bonnes adresses de lieux à visiter, mais aussi de bons restaurants, hôtels…
Si vous connaissez vous aussi de bonnes adresses, n’hésitez pas à m’en faire part, je les ajourerai avec plaisir !!

Et voilà une petite photo d’une maison en ruine sur l’Aubrac :

 Posted by at 11h33
Jan 182012
 

Désolé du petit retard de l’annonce, je n’avais pas accès à un ordinateur pour cause de…. déménagement 😉

Comme chaque année, j’ai le plaisir de vous annoncer la sortie de la Gazette numéro 12 !!
Merci encore à Bernard Soulier pour cette gazette toujours attendue avec impatience ;-)

Mais dommage, toujours pas un mot sur le site www.betedugevaudan.com qui existe pourtant depuis de nombreuses années.
Tant pis, je continuerai dans mon petit coin à le faire vivre pour votre plaisir (et le mien) 🙂

Vous pouvez la télécharger au format .pdf : ftp.midyloups.com

Lien direct sur le site www.betedugevaudan.com pour ceux qui auraient des soucis pour la télécharger sur le site officiel :
La Gazette de la Bête Version 2012  (Fichier .pdf d’environ 16Mos)
La Gazette de la Bête couverture 2012

 Posted by at 15h15
Déc 312011
 

Arrivée du nouveau numéro (411) de Lou Païs du premier trimestre 2012 accompagné de l’Armanac de lousero.
Joli cadeau de Noël 🙂

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Je vous rappelle l’adresse postale de Lou Païs :
14, Résidence Les Prés Hauts

Route de la Margeride
48130 Aumont-Aubrac

 

 

 Posted by at 14h37
Sep 202011
 

Le puma est-il la nouvelle bête du Gévaudan ? C’est la question que doivent se poser les habitants de La Besseyre-Saint-Mary…

Le maire de cette petite commune, Georges Dalle, affirme en effet avoir aperçu un semblable animal lundi dernier. Artisan, il revenait de son travail, au volant de son camion. « A 12 h 50, sur la route départementale 41, entre le village d’Auvers et le hameau de « Hontès Haute », sur la commune de La Besseyre-Saint-Mary, un puma est passé à une quinzaine de mètres devant mon véhicule, raconte-t-il. Je n’en croyais pas mes yeux. Ça s’est passé plutôt vite. Il a traversé la chaussée en deux secondes. »
Le maire avoue néanmoins ne pas être un spécialiste des animaux exotiques : « Je ne suis pas sûr de l’espèce, mais c’était un grand félin, de couleur fauve, entre le rouge et le marron.»

Il ajoute cependant que « de nombreuses empreintes étranges ont été relevées autour de la commune d’Auvers depuis le mois de juin ». De plus, interloqué par la vision qu’il a eue, il est allé relever « des touffes de poils » que l’animal a laissées sur le fil barbelé après sa traversée du bitume.

Des prélèvements qu’il a confiés à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). « Nous avons une brigade chargée des animaux concernés par la convention de Washington, basée au château de Chambord, explique Hubert Asperti, chef de service à l’ONCFS. Nous allons transmettre ces échantillons à un spécialiste national des félins, qui va se charger de les analyser. » On pourra ainsi savoir avec exactitude quel type d’animal a vu Georges Dalle.
Reste la question de la provenance d’un tel fauve. Entre la mode des NAC (nouvel animal de compagnie), une possible évasion d’un cirque ou encore d’un zoo, les possibilités sont grandes.
S’il s’avère que le félidé est bien un cougar, des traces de ses repas devraient être facilement décelables. Silencieux, rapide et très agile, sa traque risque de durer aussi longtemps que celle de la bête du Gévaudan.

Source : lamontagne.fr

 Posted by at 15h25
Sep 182011
 

Un info bien vérifiée :

Un habitant de la Besseyre St Mary tout à fait digne de foi a vu un animal inconnu traverser la route à vive allure devant son véhicule.
Taille imposante, queue longue et ondulante, couleur fauve. En franchissant une clôture de barbelés cette bête y a laissé des poils !
De retour chez lui il a cherché à savoir ce qu’il avait vu et après des recherches sur le net il a conclu à peut être un PUMA.
Il a prévenu la gendarmerie et l’ONC (Office National de la Chasse). Les agents de l’ONC sont venus récupérer les poils qui doivent être analysés…………..

D’autres habitants affirment avoir repéré des traces hors normes autour d’Auvers.
Les médias locaux se déchaînent avec des titres : le Puma du Gévaudan, le retour de la bête ………
Les chasseurs sont mis à contribution pour repérer traces et éventuels cadavres d’animaux.
Alors qu’en est il ? Vrai puma, lynx, autre chose ……….??? L’avenir nous le dira …..peut être……

Merci à Bernard Soulié pour cette info !!

 Posted by at 18h55
Août 302011
 

L’activité est retombée sur le site du château d’Apcher en cette deuxième quinzaine d’août. La douzième campagne de fouilles archéologiques s’est achevée avec le départ des archéologues et des fouilleurs et la fermeture du chantier. Comme les années précédentes (depuis l’an 2000), en moyenne une douzaine de fouilleurs œuvrent sous la direction d’Isabelle Rémy. Archéologue à Inrap (Institut national de la recherche archéologique préventive), elle en est détachée chaque année pour superviser les travaux sur le château dans le cadre de fouilles programmées, contrôlées par la Drac (Direction régionale des affaires culturelles), ses rapports annuels ou pluriannuels permettant les autorisations postérieures.

En douze ans, le site est passé d’un contexte d’éboulis envahis par l’herbe et les arbustes à un château certes détruit mais où apparaissent murailles, pièces et bâtiments divers interprétés par l’archéologue grâce aux architectures différentes selon les époques. Tessons de poterie, tommettes, verres, ossements d’animaux, objets de la vie courante comme dés à jouer, aiguilles, dés à coudre, boucles de ceinture, pièces, carreaux d’arbalète, pointe de hallebarde, éperon, planchers et carrelages, tous ces objets sont collectés, classés et répertoriés, puis sont étudiés par des spécialistes qui les reconstituent et les interprètent de manière rigoureuse et scientifique. Cela permet de dater l’occupation et la construction du site.

C’est ainsi que l’on retrouve la vie quotidienne des constructeurs et des occupants du château au cours des siècles. Les fouilles sont effectuées par progression verticale, couche par couche, et ce jusqu’au substrat naturel : terre ou roche. On recule ainsi dans le temps au fur et à mesure que l’on descend. Une fois la campagne achevée, le chantier est interdit au public car les murs sont fragiles et dangereux, les sols ne sont pas stabilisés. Les fouilleurs n’aiment pas que l’on piétine leur travail qui s’avère précis, long et fastidieux. Ce sont en majorité des jeunes du secteur, étudiants, pour certains en histoire, histoire de l’art, architecture ou archéologie, qui reviennent chaque année.

Certains visiteurs ne comprennent pas la complexité de leur travail et n’hésitent pas à franchir les limites, détruisant au passage quelques vestiges, en tombant une pierre, soulevant une bâche, récoltant une tommette qui sera abandonnée sur le perron de chez eux, et parfois se retrouvant en train de visiter la pelouse du riverain ! Les voisins ont l’œil afin d’éviter ces abus. Il y a quelques jours, un fouilleur au détecteur de métaux – objet interdit en France sans autorisation précise – a été intercepté sur le site, le piochon prêt à l’emploi ! La campagne 2011 a permis de dégager les derniers espaces au nord des bâtiments près de la chapelle, ce qui a obligé à détourner le chemin par l’arrière de celle-ci. Le puits situé dans la cour intérieure a été fouillé par un spécialiste, et, comme on s’y attendait, a livré des objets (seaux en bois, chaîne, écuelles…) tombés au fond de ses 14 mètres, taillés en grande partie dans la roche dure (leucogranite). Après douze années de travaux, le corps du château est pratiquement dégagé sauf dans sa partie ouest correspondant à l’entrée, et qui s’avère complexe. Ce sera probablement le but de la prochaine campagne.

Une référence Avec la chapelle restaurée, le donjon également et aménagé pour permettre un accès jusqu’à son sommet, le château des fiers barons d’Apcher sera à moyen terme le site de référence dans le département. Il est déjà un haut lieu touristique. Le président de l’association de ses amis Jean-Noël Brugeron a répondu à un appel à projets européen et son dossier a été retenu ; la mise en valeur du site va donc se poursuivre. Car fouiller, dégager des ruines, comprendre l’histoire du château est une chose, mais il est indispensable de consolider les maçonneries dégagées, de les protéger contre l’action des intempéries et de sécuriser l’ensemble.

Les sols des différentes pièces et salles devront être reconstitués après le travail des fouilleurs afin qu’une ouverture au public puisse être acceptée. L’accès jusqu’à la porte d’entrée du donjon est en cours d’étude. Il est envisagé d’aménager la partie nord du site, acquise il y a quelques années, d’où l’on a une magnifique vue sur la Margeride (un hangar agricole doit être détruit), de paver la rue au pied de la tour, de mettre en place un éclairage de l’ensemble, d’acquérir un bâtiment – anciennes écuries du château appuyées sur le mur d’enceinte ouest -, ce qui permettrait d’assurer enfin un accueil du public, de créer une salle d’exposition et de remanier sa façade pour dégager la vue du mur-clocher de la chapelle. D’autres idées pourraient se concrétiser à plus long terme comme des animations et spectacles dans un décor roman et médiéval…

Le château principal des barons d’Apcher est implanté à partir du XIe siècle sur un promontoire occupé depuis fort longtemps. L’étymologie du nom en atteste, Apchier est un nom gaulois composé de “ap” : endroit fortifié, et “chier”, chaos rocheux. On ne sait comment de petits seigneurs locaux en arrivèrent à de telles possessions. La baronnie d’Apcher occupait le nord du comté du Gévaudan. Ces puissants barons contrôlaient un territoire de plusieurs dizaine de km2, allant de la rivière Bès jusqu’à la Truyère, de la Rimeize jusqu’aux sommets de la Margeride. Longtemps, ils ont été propriétaires de la moitié de la terre de Randon.

 Posted by at 13h01
Août 192011
 

Le fusil de Jean Chastel était suspendu depuis près de 250 ans, il a été décroché de son clou, pour une visite d’un jour au Malzieu-Ville, en exposition jeudi 4 août à l’occasion des journées de la Bête.

Son premier propriétaire, devint célèbre un certain 19 juin 1767, on aura compris, grâce à son coup de feu fatidique face à la terrible Bête, celle dite du Gévaudan car il n’y en a pas d’autre de telle renommée dans nos contrées.

L’ustensile qui la tua là-haut sur les sommets de la Margeride, a été présenté par Guy Crouzet historien de la Bête. Ce dernier est fort connu pour ses écrits sérieux et documentés sur le fléau du XVIIIe  siècle dont les deux derniers : La grande peur du Gévaudan et son complément d’enquête : Bêtes en Gévaudan.

Sa présentation du fusil est également très argumentée : initialement à silex puis transformé à pistons, canon de trois pièces, plaque au nom de Jean Chastel, inscriptions gravées, et observations diverses. Son parcours au cours du temps est connu grâce aux écrits de l’abbé Pourcher premier historien de la Bête. Le marquis Jean-Joseph d’Apchier, seigneur local du château de Besque, près de Charraix achète l’arme à Jean Chastel non sans avoir essayé de se glorifier d’avoir tué l’animal en le soudoyant.

À la Révolution, il émigre à Barcelone, un certain Pierre Duffaud de Vereuges commune de Saint-Julien des Chazes l’achète aux environs de 1791. Son petit-fils, François, le vend à un intermédiaire pour le compte de… l’abbé Pourcher en décembre 1888 qui le conserve jusqu’à sa mort.

Sa nièce, Marie, en hérite et le cède en 1929 à un descendant de François Antoine porte arquebuse du roi Louis XV (qui vint en Gévaudan pour chasser la Bête mais ne tua qu’un grand loup qu’il présenta au souverain à Versailles).

L’arme est toujours propriété de la famille. « C’est un grand privilège d’avoir pu obtenir une telle pièce », comme l’a souligné Jean-Noël Brugeron le maire du Malzieu-ville.

Vous pouvez voir d’autres photos de ce célèbre fusil dans la galerie du site

 

 

 Posted by at 9h45
Août 172011
 

Il peuple depuis la nuit des temps l’imaginaire enfantin et populaire. Craint, fantasmé, protégé, le loup revient sur le devant de la scène. Pas vraiment porté aux nues, puisqu’il serait à l’origine d’attaques sur des ovins. Récemment, une bête a péri sous les crocs d’un animal carnivore dans les Pyrénées, sur le massif du Carlit. La direction départementale du territoire des P-O n’a pas encore rendu ses conclusions. Rien ne permet d’affirmer que le loup est responsable.

Depuis le début de l’année toutefois, 583 attaques dans dix départements, lui sont imputables. La plupart des dommages se sont produits dans les Alpes-Maritimes, le Var et les Alpes- de-Haute-Provence. Et ont jeté le feu aux poudres. La perte pour les éleveurs est conséquente.

Leurs inquiétudes compréhensibles face à une situation économique guère réjouissante.

Certains politiques ont pris des positions sans équivoque, tel Jean-Louis Bianco, président PS du conseil général des Alpes- de-Haute-Provence, en déclarant que le loup n’était plus « une espèce en voie de disparition. Ce sont les bergers et les troupeaux qui sont en voie de disparition ». Jean Auclair, député UMP de la Creuse, a confié qu’il n’hésiterait pas à prendre sa « carabine pour procéder à la régularisation qui s’impose ».

Si bien que Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’Écologie, a pris le problème au sérieux, rencontré les éleveurs touchés, et proposé la pratique plus souple des tirs de défense à l’année dans les zones sensibles. Un comité national Loup avait été envisagé à la fin août par la ministre, or sa tenue n’est pas confirmée pour l’heure.

« Le loup paie le tribut des images véhiculées, notamment par la religion : l’agneau, c’est le bien ; lui, le mal. L’ours jouit d’une réputation plus lisse alors qu’il n’est pourtant pas commode », confie Alain Bataille, agent technique de l’office national de la chasse et de la faune sauvage, animateur du réseau loup pyrénéen. « Le chien errant s’en prend aussi au troupeau. C’est un tueur, son impact est plus lourd, moins répétitif. Le loup, lui, est plus ponctuel dans son attaque mais peut la réitérer. »

Lors des constats de dommages sur troupeau, prélèvement de poils, d’excrément et examen de morsures sont appliqués. Quand la responsabilité du loup n’est pas écartée, l’éleveur est indemnisé. Selon les chiffres du ministère de l’Écologie, en 2009, le montant des dégâts imputables à l’animal s’est élevé à 1 M€.

 Posted by at 7h50