Les chasseurs luttent contre la Bête du Gévaudan

Jean-Marc Gibert

Le retour de la Bête en Gévaudan

Jean-Marc Gibert - Le retour de la Bête en Gévaudan - 2024 - Roman

Léo Chassagny n'a jamais vraiment aimé ce village perdu de Lozère.

Pendant son enfance il y passait toutes ses vacances. Il va pourtant devoir y retourner.

Son éditeur lui demande un livre sur l'histoire de la Bête du Gévaudan et son fils lui réclame des vacances là-bas.

A peine arrivé, des enfants sont attaqués et tués par un animal mystérieux tandis que des loups se font entendre à la tombée de la nuit. Malgré les battues et la mort de plusieurs loups, la liste des victimes ne cesse de s'allonger et la peur s'empare du village.


Qui pourra donc arrêter ce que les médias n'hésitent pas à appeler « la nouvelle Bête du Gévaudan »

Année de parution de l’édition présentée : 2024 (15 mai) (222 pages)

Éditeur : Il est midi

ISBN : 9782494282513


Jean-Marc Gibert est né à Marseille. Il a été pendant longtemps professeur de sciences-économiques. Il est guitariste et participe à de nombreux groupes de musique du monde. Il se passionne également pour l'écriture et a publié un ouvrage d'ethno-sociologie sur la Bête du Gévaudan. Il écrit des nouvelles et depuis peu des romans.

Jean-Marc Gibert - Le retour de la Bête en Gévaudan - 2024 - Roman

Mon avis sur l’édition présentée :


Un roman qui réactive la peur de la Bête du Gévaudan à notre époque.

Des enfants et des adultes sont tués de façon horrible.


On y retrouve presque les mêmes personnages, Léo Chassagny, en enquêteur, un peu malgré lui qui met en parallèle les faits de l’époque et ceux d’aujourd’hui, le curé, qui se prend un peu pour l’évêque de Mende, Gabriel-Florent de Choiseul-Beaupré, certains villageois qui attisent la haine. Bien sur, un comte qui parait « douteux », mais aussi d’autres personnages sur lesquels on se prend à « gamberger »…


Un petit roman qui se lit facilement, mais qui vous tient en haleine jusqu’au bout.

Je vous le conseille, pour passer un bon moment.

Personnellement, j’ai bien aimé.

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