Août 212014
 

logo_filmComme promis, voici enfin la vidéo tournée avec Monsieur Alain Parbeau dans les bois de la Tennezeyre ce mois d’août.

Il s’agit d’une démonstration d’armes à silex comme au temps des battues contre la Bête du Gévaudan.

Merci encore à Alain pour sa patience, et sa grande connaissance des armes à feu d’époque.

 

 Posted by at 16h21
Jan 102014
 

logo_filmUn plateau d’altitude au milieu du ciel à cheval sur 3 départements, l’Aveyron, le Cantal et la Lozère. Un espace qui semble sans limite dont l’apparence quasi désertique est trompeuse car l’Aubrac n’a cessé d’être une terre de passages, de rencontres, de vie.

 

Samedi 11 janvier 2014 à 16H20 sur FR3

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Cap Sud-Ouest : L’Aubrac, une terre de… par france3aquitaine


Cap Sud Ouest Aubrac par Eric-Perrin

 Posted by at 21h40
Jan 102014
 

logo_filmLe nouveau film policier de Jacques Baudoin fera ressurgir la Bestia. Le tournage commencera cet été et le premier casting aura lieu le 15 mars à Langogne.

Le nouveau film de Jacques Baudoin sera tourné cet été à Langogne et ce grand amateur de la région ne pouvait pas laisser passer l’opportunité de s’attaquer au grand mythe local : la Bête du Gévaudan.

Aussi le scénario du polar intitulé « Behemoth » (l’ombre de la bête en hébreu) tourne-t-il autour de faits divers et de meurtres perpétrés selon un calendrier et un itinéraire très proche de celui de la « Bestia », quelques siècles auparavant… Pure coïncidence ? Rites macabres ? Périple initiatique morbide ? Sorcellerie historique et identification maladive ?
C’est ce que les deux fins limiers de la police, assez loin des Dupont et Dupond, doivent élucider au cours d’une enquête qui les déstabilise, tant les deux époques se mêlent et se recoupent, les plongeant dans le passé et son mystère, l’actualité qui dépasse la fiction, pour finir dans un abîme de conjectures !

Jacques Baudoin, qui a particulièrement travaillé sur le sujet, organise le premier casting le samedi 15 mars de 9 h 00 à 12 h 30, et de 14 h 00 à 17 h 30, à la maison des associations.

Il recherche une quinzaine d’acteurs, avec deux rôles principaux, pour une tranche d’âge de 16 à 65 ans..

Qu’on se le dise, l’ombre de la Bestia planera sur le tournage de ce film « historique ».

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Source : Midi Libre

 Posted by at 8h52
Déc 032013
 

logo_lozereAu mois de mai dernier, une équipe de techniciens de la chaîne de télévision franco-allemande Arte a parcouru l’Aubrac pendant une quinzaine de jours. Sous la direction de la réalisatrice Maja Dielhenn, son équipe est allée à la rencontre de cette région, de ses habitants, de ses paysages. Il s’agissait d’effectuer des prises de vue pour un reportage de la série Géo, intitulé « Aubrac, des bergers et des moines ». L’attention de Maja Dielhenn  se partage entre tradition et modernité, deux aspects complémentaires qui caractérisent bien ce pays très contrasté. La vache d’Aubrac y est à l’honneur. Le grand jour de la transhumance de printemps, le troupeau de Philippe Boubal est couronnée de fleurs et parées comme les stars. Ça marche, rythmé par le tintement des sonnailles, se prête à la caméra lors de la montée jusqu’aux pâturages de la montagne du Pesquié.

 En voie de disparition complète, la traite à la main des vaches à l’estive est cependant maintenue volontairement par la famille Ramon.

Pendant des siècles, cette pratique a été une des activités principales de l’été en Aubrac. Source importante de l’économie locale, la production de fromage était naturellement tirée de l’environnement, ce qui en faisait un produit de qualité exceptionnelle. La vie des buronniers était rude mais elle marque combien était essentiel pour eux la relation intense avec leurs bêtes et la nature, nuit et jour, pendant les cinq mois de l’estive.

Implantée en pleine campagne, les frères Bras, chef réputé, ont inventé une cuisine qui met à l’honneur la flore environnante dans leurs créations culinaires. Leur préparation et recettes vont au-delà de la seule gastronomie car elle intègre une part d’émotions et d’humains tant de la part du chef cuisinier que pour le convive accueilli. L’ethnologue Christian Lemasson photographie l’Aubrac, pays de sentiers, pour son prochain ouvrage. Le plateau a toujours conservé sa vocation de voies de passage de la vallée à la montagne ou encore d’une région à l’autre surtout depuis le défrichage entrepris par les moines pour en faire une région de plus en plus sûre et enfin économiquement exploitable. Aujourd’hui, il continue d’être traversé par de nombreux sentiers de randonnée comme le Tour de l’Aubrac qui passe à Saint-Laurent de Muret ou le célèbre chemin de Saint-Jacques de Compostelle.

À travers ces belles images, le film de 52 minutes témoigne de la grande sensibilité des hommes de ce pays vivant au cœur de la nature. À voir sur la chaîne de télévision Arte (la sept).

La page sur le site d’Arte en cliquant ici
Malheureusement, il n’est plus possible de voir ce reportage et il n’est pas disponible ni à la vente ni en « streaming » 🙁
C’est bien dommage.

 

Photo : www.projet-pnr-aubrac.fr

 

 

 Posted by at 16h00
Avr 132013
 

logo_film1765-un-an-a-tuer_001

L’association Clapvidéo sort le deuxième volet de son film sur la bête du Gévaudan, intitulé « 1765, un an à tuer ». Une œuvre qui met en valeur le département.

Il s’est fait attendre pendant un an, mais enfin, le film « 1765, un an a tuer » est terminé et prêt à être diffusé. Une suite à l’histoire de la bête du Gévaudan lancée en 2012 avec un premier volet « 1764, un an à tuer », diffusé à travers la Lozère.

Et si Jean Soulet, le réalisateur, explique avoir voulu mettre en place le contexte et les personnages dans le premier volet, cette fois-ci, la place est définitivement laissée à l’action. « On retrouve l’histoire de l’exploit de la mère Jouve, en Margeride, cette femme qui parvient à sauver son enfant de la bête », explique Jean Soulet. Peu de scènes de transition, les images s’enchaînent pendant 40 minutes sans laisser une seconde d’ennui au spectateur. Un petit exploit, quand on sait que le tournage s’est effectué en seulement… neuf jours ! Les décors sont authentiques, on y retrouve le tribunal de Marvejols, les châteaux de Saint Alban et Fournels et sur les communes de Fontans, Serverette, Saint-Denis en Margeride et Saint Alban sur Limagnole avec le souci permanent de mettre en valeur le patrimoine naturel et historique.

Dans ce cadre, une soixantaine de personnes ont permis la réalisation du film. On n’y retrouve les membres de l’association Clapvidéo, à l’origine du film, est un mélange hétéroclite de professionnels et d’amateurs. Des acteurs en herbe (les accros de la Scène) et des acteurs chevronnés (théâtre du Hangar et Granit) étaient entourés pour la mise en scène par deux professionnels.

« Les gens viennent sur le tournage pour passer une bonne semaine », rappelle Jean Soulet. La partie la plus longue étant finalement le montage du film. De son côté, le réalisateur espère que l’œuvre suscitera le débat. Il sait que la bête a fait l’objet de nombreux films. « La bête du Gévaudan était une histoire qui me trottait dans la tête depuis un moment. Mais ce sujet, soit on le déteste, soit on l’aime et il existe plusieurs versions, plusieurs croyances. Ce film propose différentes pistes. J’ai utilisé des documents d’archives afin de donner une vraie version, mais j’espère que ces pistes susciteront le débat. »

Parmi les hypothèses évoquées, on retrouve dans le film le procès d’un meneur de loup, accusé d’être le propriétaire de bêtes ayant tué. « Dans cette idée de loups dressés par les hommes, on peut se demander si finalement, la bête du Gévaudan ne serait pas un loup dressé à attaquer… ».

Les projections du film seront d’ailleurs suivies de débats afin que chacun puisse exprimer son opinion. En attendant, le film a été présenté à l’association Clapvidéo. Rendez-vous donc pour les projections sur les hauts plateaux à partir du 31 mai à Saint Alban, puis au Ciné-théâtre de Saint Chély en juillet, au Malzieu, Fournels, Serverette, et Mende du printemps à l’automne.

L‘association est déjà repartie sur un nouveau projet de tournage au mois de juillet avec toujours cette envie de mettre en valeur le département à travers les images que les lots et rien sauront reconnaître.

Source : La Lozère Nouvelle

 Posted by at 12h55